J-F LaMothe, le poète, écrit des chansons, il invente des mondes, décrit des réalités alternatives. Avec des textes tout en images, décrivant notre humanité, notre mortalité, il les dépose dans l’immortalité des chansons.
L’îlot, la première chanson qu’il a écrite, décrit le berceau de la vie, avec le concept de l’œuf qui porte en lui le noyau, la source de notre existence.
La coquille devient le bateau qui descend dans le tumulte des flots de la rivière vers l’océan… Notre humanité, nos similitudes, nos vies, nos conquêtes, nos espoirs.
Inspiré par la divinité de la connexion entre les personnes de toutes les époques, il trouve L’air perdu, à travers le moulin qui assure notre subsistance et notre survie, et qui fait le lien entre nous tous.
À l’origine grandement inspiré par les compositeurs francophones comme Brassens, Guy Béart, Aznavour, la découverte de Peter, Paul and Mary, Joan Baez, Bob Dylan et de Joni Mitchell ont transformé ce jeune Québécois, et l’ont poussé à explorer la musique que ces Américains lui ont inspirée. Sans même comprendre complètement la profondeur de leurs paroles anglophones, il s’est imprégné de leurs grandeurs.